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lundi, mars 03, 2003

Les politiques chaussent � nouveau les crampons
[15/11/2002 15:46]

PARIS, France - Quinze hommes politiques fran�ais chausseront les crampons lundi au Parc des Princes pour la deuxi�me �dition du �match de la d�mocratie� d�di�e � la d�fense de la libert� d'expression dans le monde, a annonc� vendredi l'association Reporters sans fronti�res. Patrick Braouezec (PCF), Daniel Cohn-Bendit (Verts), Herv� Morin (UDF), Julien Dray (PS) ou Fran�ois Baroin (UMP) affronteront une �quipe de journalistes. L'�quipe des politiques sera entra�n�e par Luis Fernandez et Guy Roux, celle des journalistes par Bernard Lama. La rencontre ne sera pas ouverte au public. A l'issue du match, un ch�que sera remis � Reporters sans fronti�res pour financer un projet de club de la presse et un cybercaf� pour les journalistes de Kaboul. Organis�e par l'association Art foot fond�e par le journaliste Pierre-Louis Basse, cette rencontre est la deuxi�me du genre. Politiques et journalistes s'�taient d�j� retrouv�s sur un terrain de football en avril dernier � la veille du premier tour de l'�lection pr�sidentielle. Art foot et RSF projettent d'organiser une troisi�me �dition du �match de la d�mocratie� au printemps prochain au stade olympique de Kaboul.


Pas de photos dans les vestiaires avec son t�l�phone portable
[2003-01-14 14:05]

HONG KONG, Chine - Une cha�ne de clubs de gymnastique de Hong Kong vient d'interdire les t�l�phones portables dans ses vestiaires, de peur que certains clients ne prennent des photos ou ne r�alisent des vid�os, avec des mobiles dernier cri proposant ces applications. "Les t�l�phones portables ne sont prohib�s que dans certaines parties de nos locaux", explique Miran Chan, porte-parole de Physical, qui exploite neuf salles de gymnastique dans l'ancienne colonie britannique. "Certains portables peuvent �tre utilis�s comme des appareils photos. Si quelqu'un s'en sert pour prendre une photo et la mettre en ligne sur Internet, cela n'est pas tr�s bon pour les membres de nos clubs et pour leur vie priv�e", pr�cise Miran Chan. Physical est, de l'avis des sp�cialistes, une des premiers groupes � restreindre l'usage de ces t�l�phones d'un nouveau genre, dont la part est amen�e � cro�tre les prochaines ann�es dans les ventes de portables. "Je ne dirais pas que les questions de respect de la vie priv�e sont nouvelles, mais c'est une affaire de degr� car ces technologies sont de plus en plus faciles � utiliser", estime Ian Sanders, directeur g�n�ral du conseil sur les pratiques en mati�re de t�l�coms chez Pricewaterhouse Coopers. Fitness First, une cha�ne hong-kongaise concurrente de Physical, envisage �galement d'interdire l'utilisation des t�l�phones portables dans certains lieux. "Nous discutons actuellement du sujet", affirme Anne She, porte-parole de Fitness First. "Nous sommes en train de fixer le type de r�gles � adopter dans les vestiaires... Je doute qu'aucun de nos membres ne prenne des photos des autres avec son t�l�phone portable. Mais pour la s�curit� de chacun, nous �laborons un r�glement pour prot�ger d�s � pr�sent tous nos membres", indique Anne She.


Pas d'images de la cr�che, pour cause de p�dophilie
[29/11/2002 13:46]

LONDRES, Grande-Bretagne - L'�cole du village de Sundon, dans le sud de l'Angleterre, interdit cette ann�e aux parents d'�l�ves de photographier ou de filmer la cr�che, de peur que les images ne finissent entre les mains de p�dophiles par le biais d'Internet. La principale de l'�tablissement de 94 �l�ves, Sue Stokes, a �crit aux parents, soulignant que �cette ann�e, la question de la protection des enfants a fait l'objet d'un important d�bat public�, pouvait-on lire vendredi sur le site Web de la BBC. �Le politiquement correct est devenu compl�tement fou!�, a comment� le conseiller municipal conservateur Richard Stay. L'�cole, qui accueille les enfants de 4 � 9 ans, s'est refus�e � tout commentaire. Le Conseil local du Bedfordshire a estim� que chaque �tablissement �tait libre de ses choix sur ce type de question. Le secr�taire de l'Association nationale des professeurs principaux s'est montr� dubitatif. �Je ne crois pas que les photos de la repr�sentation de la Nativit� puissent �tre utilis�es � des fins pornographiques, a d�clar� David Hart, cit� par le �Times�.


La t�te � l'envers
[15/11/2002 15:04]

LONG BEACH, Etats-Unis - Une fillette de six ans a eu la vie sauve gr�ce � la pr�sence et la vivacit� d'esprit d'un passant qui, dans la vitrine d'une laverie, l'a vue prisonni�re d'une machine � laver qui commen�ait � se remplir d'eau. Kloeum Nhem, 36 ans, a d�gag� la petite fille en cassant la porte de la machine avec un d�monte-pneu. Le sauveur et la fillette ont �t� transport�s � l'h�pital, o� l'enfant a subi une op�ration chirurgicale pour r�parer des blessures au visage et sur le corps. Son �tat est stable. Quant � son sauveur, il a eu des points de suture au bras et a quitt� l'h�pital. La fillette se trouvait dans la laverie en compagnie de sa m�re, mardi, quand elle a grimp� sur la machine � laver dont la porte s'est aussit�t rabattue sur elle, a pr�cis� un porte-parole des pompiers. Quand le cycle de lavage s'est enclench�, la porte s'est bloqu�e. Alors que l'eau continuait � monter, Kloeum Nhem a vainement tent� de briser la vitre avant de courir jusqu'� sa voiture o� il a pris un d�monte-pneu. Nhem a expliqu� que la m�re de la fillette se tenait � ses c�t�s en pleurant alors qu'il tentait de la sortir de la machine. Le service d'incendie et de secours de Long Beach a ordonn� la fermeture de la laverie pour violation de la l�gislation sur l'�lectricit�.


Usual Suspect...
[15/11/2002 15:04]

JOHANNESBURG, Afrique du Sud - Un Sud-Africain inculp� de meurtre a r�ussi � s'�vader en se faisant passer pour un autre d�tenu et obtenir sa lib�ration sous caution. Les autorit�s p�nitentiaires avaient extrait Sizwe Alfred Gaqa de sa cellule mardi pour une comparution dans un autre proc�s. Mais une fois dans les cellules communes du tribunal, il a pris l'identit� d'un autre d�tenu qui devait compara�tre pour vol. Gaqa, 22 ans, a donc comparu au nez et � la barbe du juge et du procureur qui n'ont rien vu. Il a b�n�fici� d'une lib�ration sous caution de 500 rands (50 euros); caution qu'un complice a prestement pay�e, a pr�cis� la police. La supercherie n'a �t� d�couverte que dans la soir�e lors du retour des d�tenus dans les prisons. Gaqa est inculp� de meurtre et de tentative de vol en relation avec l'assassinat de deux hommes devant une banque en 2001.


Crochet � la foi
[15/11/2002 15:04]

LAS VEGAS, Etats-Unis - Quand on a la foi chevill�e au corps, il est difficile de concilier religion et boxe. Surtout quand on est comme Dmitriy Salita, boxeur et... juif pratiquant. L'un de ses coreligionnaires, Bob Arum, organisateur de matches de boxe de son Etat, a vainement tent� de le persuader de participer � un match capital mais qui se disputait un samedi avant la fin du shabbat. �Je fais ce m�tier depuis 37 ans et c'est la premi�re fois que je suis incapable d'organiser un match. J'ai d� appeler le rabbin�, a soulign� Arum en pr�cisant que sans l'accord du rabbin, jamais Salita -un boxeur d'origine ukrainienne- n'aurait dit oui. C'est un rabbin de Las Vegas qui a convaincu Salita qu'il pouvait combattre un samedi sans pour autant trahir sa foi. Seul juif religieux parmi les professionnels, Salita, 20 ans, a huit victoires dont six par KO � son palmar�s. Il mange casher, il �tudie la Torah; ce qui ne l'emp�che pas de disposer de solides crochets du gauche et �jabs� du droit. Sa stricte observance de la loi mosa�que lui interdit la
boxe 70 jours de l'ann�e.


Cent fois trop de volontaires pour tester des pr�servatifs
[2002-11-15 16:06]

LONDRES, Grande-Bretagne - Le fabricant de pr�servatifs Condomi a �t� submerg� de candidatures apr�s avoir lanc� un appel aupr�s d'�tudiants britanniques des deux sexes pour tester ses produits. Le fabricant allemand a re�u plus de 10.000 candidatures en une semaine et ne retiendra que 100 personnes pour ses tests dits "de plaisir rigoureux". Les "cobayes" seront pay�s 100 livres sterling (environ 150 euro) pour essayer la gamme compl�te des pr�servatifs de la marque et remplir un questionnaire d�taill� de leurs r�actions. "La r�ponse a �t� ph�nom�nale", a d�clar� la directrice du marketing, Victoria Wells. "C'est assez surprenant de voir � quel point certaines personnes sont pr�tes � entrer dans les d�tails sur des questions tr�s intimes."


Un trouble sexuel f�minin invent� par l'industrie du m�dicament?
[2003-01-03 13:06]

LONDRES, Grande-Bretagne - Des entreprises pharmaceutiques ont d�menti les rumeurs selon lesquelles elles avaient invent� un nouveau trouble sexuel f�minin en vue de cr�er un march� du m�dicament traitant ce trouble et de r��diter le succ�s du Viagra. D'apr�s le British Medical Journal, des chercheurs proches de l'industrie avaient invent�, lors de colloques financ�s par les firmes pharmaceutiques ces six derni�res ann�es, un nouveau dysfonctionnement de la sexualit� chez la femme, connu en anglais sous le nom de "female sexual dysfunction". Cela dans le but d'inciter � la prise de m�dicaments similaires � celui qui a rencontr� un succ�s plan�taire en soignant l'impuissance masculine. Il en r�sulte une mauvaise prise en charge des troubles de la sexualit� chez la femme et une exag�ration du nombre de femmes atteintes. Selon l'auteur de l'article, Ray Moynihan, de l'Australian Financial Review, affirmer que 43% des femmes entre 18 et 59 ans souffrent de troubles de la sexualit� est une erreur et potentiellement dangereux. Les fabricants de m�dicaments assurent qu'ils cherchaient seulement un traitement pour les millions de femmes qui ont des difficult�s sexuelles semblables � ce qu'est l'absence d'�rection chez l'homme, et qui se soigne d�sormais avec le fameux Viagra fabriqu� par Pfizer. "Cela ne fait que fournir une solution pour les m�decins si la situation l'exigeait", a d�clar� � la radio BBC le Dr Richard Tiner, directeur m�dical de l'Association de l'industrie pharmaceutique britannique. Une porte-parole de Pfizer s'est �galement �lev�e contre ces accusations, soulignant que le Viagra et ses futurs concurrents fabriqu�s par Eli Lilly/ICOS et Bayer/GlaxoSmithKline attendaient encore l'autorisation d'�tre administr�s aux femmes. "Nous travaillons � partir de besoins m�dicaux qui n'ont pas trouv� de r�ponse. C'�taient des chercheurs qui travaillaient sur cela depuis bien longtemps, bien avant qu'ils ne soient venus nous demander de les soutenir", a-t-elle pr�cis�. "Je pense que cet article est une injure � toutes les femmes qui nous disent qu'elles souffrent".


La pratique intensive du VTT nocive pour la f�condit� ?
[2002-12-02 16:27]

CHICAGO, Etats-Unis - La pratique trop assidue du v�lo tout-terrain entra�ne des probl�mes au niveau du scrotum qui peuvent avoir des cons�quences sur la fertilit� des cyclistes, selon une �tude autrichienne. Cette �tude, rendue publique lundi � l'occasion de la r�union annuelle de la Soci�t� de radiologie d'Am�rique du Nord, a port� sur 40 cyclistes "de l'extr�me" parcourant au moins 5.000 km par an et 35 non-pratiquants. Les examens du scrotum ont r�v�l� que 88% des cyclistes pr�sentaient des kystes, des varices, des calcifications et autres anormalit�s qui ne sont apparues que chez 26% de ceux ne pratiquant pas le VTT. Les �chantillons de sperme pr�lev�s sur les pratiquants ont par ailleurs montr� que leur liquide s�minal contenait trois fois moins de spermatozo�des - eux-m�mes pr�sentant moins de motilit� (l'aptitude � effectuer des mouvements spontan�s ou r�actionnels) - que celui du groupe ne pratiquant pas le v�lo tout-terrain. "Nous pensons qu'une pratique trop intensive du v�lo en tout terrain peut conduire � une alt�ration du sperme, ce qui peut avoir un effet sur la fertilit�", estime le principal auteur de l'�tude, Ferdinand Frauscher, du CHU d'Innsbr�ck. Pour lui, les traumatismes r�p�t�s que subissent les testicules conduisent � certains dommages vasculaires et peuvent du coup entra�ner une r�duction de la mobilit�. L'�tude sugg�re que les pratiquants assidus devraient investir dans des absorbeurs de chocs et dans des syst�mes de suspension, ce qui pourrait conduire � doubler l'investissement par rapport � un VTT normal.