Il roulait sans permis de conduire depuis 58 ans
[2007-01-10 12:03]
NANTES, France
Un automobiliste âgé de 78 ans a avoué aux gendarmes qu'il roulait sans permis de conduire depuis bientôt 58 ans.
Ce retraité aurait pu conduire encore longtemps s'il n'avait eu un banal accident de la route sur sa commune de Saint-Julien-de-Concelle située au coeur du vignoble nantais.
L'homme a été retrouvé par les gendarmes samedi dernier dans sa voiture, à cheval sur la glissière de sécurité d'une route départementale, avec 2 g d'alcool par litre de sang.
Il avait présenté carte grise et papiers d'assurance, mais dit avoir "oublié son permis dans sa sacoche", restée chez lui.
Convoqué à la gendarmerie, le retraité a avoué n'avoir jamais passé son permis de conduire. Il était titulaire d'un "permis militaire" passé en 1949. Il sera jugé le 9 mars par le tribunal correctionnel de Nantes pour ces faits.
mercredi, janvier 10, 2007
lundi, janvier 01, 2007
Soldes d'hiver...
Soldes d'hiver...
LOVELAND, Colorado (AP) -- Jim et Mary Walker ont mis en vente des flocons sur eBay, le site d'enchères sur Internet. Ce couple d'Américains propose des échantillons de «Blizzard I» et «Blizzard II», deux tempêtes de neige qui ont balayé le Colorado en moins d'une semaine.
Le couple a eu l'idée après avoir déblayé la masse de neige accumulée devant chez eux. «Je me suis dit que si eBay vendait des fantômes et tout un tas de trucs bizarres, pourquoi pas de la neige», explique Mary. «On voulait juste faire marrer les gens».
Pour l'heure, les enchères n'atteignent pas un dollar. Les Walker ne s'attendent guère à trouver preneur pour cette neige, mais conseillent tout de même aux éventuels acquéreurs d'éviter les frais de transport en passant chez eux pour ramasser la neige dans un camion à ordure...
LOVELAND, Colorado (AP) -- Jim et Mary Walker ont mis en vente des flocons sur eBay, le site d'enchères sur Internet. Ce couple d'Américains propose des échantillons de «Blizzard I» et «Blizzard II», deux tempêtes de neige qui ont balayé le Colorado en moins d'une semaine.
Le couple a eu l'idée après avoir déblayé la masse de neige accumulée devant chez eux. «Je me suis dit que si eBay vendait des fantômes et tout un tas de trucs bizarres, pourquoi pas de la neige», explique Mary. «On voulait juste faire marrer les gens».
Pour l'heure, les enchères n'atteignent pas un dollar. Les Walker ne s'attendent guère à trouver preneur pour cette neige, mais conseillent tout de même aux éventuels acquéreurs d'éviter les frais de transport en passant chez eux pour ramasser la neige dans un camion à ordure...
L'insolite au rendez-vous en 2006
L'insolite au rendez-vous en 2006
[2006-12-31 14:52]
par Erik Kirschbaum
BERLIN (Reuters) - Des employés de la Turkish Airline qui sacrifient un chameau à l'aéroport d'Istanbul pour fêter un travail bien fait à "Miss Israël" exemptée de port de fusil parce que ça pourrait faire des bleus à ses jambes de fée, l'année 2006 a été riche en informations insolites.
Renzo Blumenthal, "Monsieur Suisse", lui, a attiré dans son pays pendant la Coupe du monde les femmes seules allergiques au football.
Les cambrioleurs maladroits ont fait la joie des journaux. En Allemagne, l'un d'eux a oublié sur les lieux de son forfait un indice accablant - un bout de doigt.
"On a l'habitude de relever des empreintes mais c'est plutôt rare de trouver carrément le doigt...", a simplement commenté la police. Le voleur a été rapidement appréhendé.
Un Jordanien a été arrêté pour avoir tenté d'escroquer un agent de change en lui présentant de faux papiers... avec la photo de Brad Pitt.
A Vienne, des cambrioleurs ont eu la surprise de découvrir dans l'appartement qu'ils "visitaient" huit têtes humaines coupées. Le propriétaire, un chirurgien dentiste, muni des autorisations nécessaires, les avait momifiées à des fins de recherche.
En Inde, après un vol de nourriture, les chefs d'un village ont forcé plus de 150 hommes à plonger leurs mains dans de l'huile bouillante pour prouver leur innocence.
Un automobiliste australien arrêté pour conduite en état d'ivresse a menacé les policiers avec un serpent qu'il avait ramassé sur la route.
A Cologne, un chirurgien esthétique escroqué par deux clientes qui ne l'avaient pas payé a remis à la police des photos de leurs poitrines "améliorées" afin de faciliter les recherches. Photos reproduites par le journal Bild, désireux probablement d'aider la justice.
Une jeune Bavaroise qui ne voulait pas se rendre à son travail a envoyé un SMS à ses parents pour leur dire qu'elle avait été kidnappée.
Un chauffeur de taxi allemand a fait fuir un voleur qui lui braquait un pistolet sur la tempe en lui criant "Pour l'amour de Dieu, c'est le réveillon de Noël !".
LIBIDO DÉBRIDÉE
Un Anglais de 29 ans, victime d'un accident du travail qui lui a laissé des séquelles psychologiques et l'a transformé en véritable obsédé sexuel, ruinant ainsi son mariage, a obtenu plus de trois millions de livres sterling de dédommagement.
L'insolite a parfois rejoint le tragique. A Hanoï, un amuseur célèbre pour sa capacité à résister aux chocs électriques est mort électrocuté en tentant de réparer un groupe électrogène.
A Rio de Janeiro, un homme trop curieux s'est tué en voulant ouvrir une roquette avec une masse.
L'année avait mal commencé pour le vice-président américain Dick Cheney, qui avait blessé un ami lors d'une partie de chasse.
En Hongrie, le Premier ministre Ferenc Gyurcsany a provoqué des émeutes en admettant en public avoir menti au peuple pour gagner les élections.
Cherie, l'épouse du Premier ministre britannique Tony Blair, a été interrogée par la police après avoir fait semblant de donner une claque à un adolescent malpoli.
A Bangkok, les chefs militaires putschistes ont interdit aux "go-go girls" de danser dans les rues devant les soldats. Cela faisait désordre.
A Philadelphie, un homme a menacé avec un pistolet l'entraîneur de l'équipe de football de son fils pour obtenir une prolongation de jeu.
A Coblence, en Allemagne, une femme a été arrêtée alors qu'elle transportait dans sa voiture le corps de sa mère pour éviter de payer le corbillard.
Toujours en Allemagne, deux employées de l'agence pour l'Emploi qui s'échangeaient des courriels internes pour se plaindre de leur morne vie sexuelle ont, à la suite d'une erreur de manipulation, partagé leurs confessions intimes avec des milliers de collègues.
Un pilote de la compagnie aérienne Jazz, une filiale d'Air Canada, s'est retrouvé bloqué hors de la cabine de pilotage après s'être rendu aux toilettes.
En Côte d'Ivoire, un détenu et une détenue se sont mariés après être tombés amoureux en se voyant seulement par le judas de la porte de leurs cellules.
En Finlande, une femme a été condamnée à rembourser un homme de 74 ans qui avait payé 25.500 euros pour pouvoir lui caresser les seins. "Il est clair que la somme était disproportionnée", a estimé le juge.
[2006-12-31 14:52]
par Erik Kirschbaum
BERLIN (Reuters) - Des employés de la Turkish Airline qui sacrifient un chameau à l'aéroport d'Istanbul pour fêter un travail bien fait à "Miss Israël" exemptée de port de fusil parce que ça pourrait faire des bleus à ses jambes de fée, l'année 2006 a été riche en informations insolites.
Renzo Blumenthal, "Monsieur Suisse", lui, a attiré dans son pays pendant la Coupe du monde les femmes seules allergiques au football.
Les cambrioleurs maladroits ont fait la joie des journaux. En Allemagne, l'un d'eux a oublié sur les lieux de son forfait un indice accablant - un bout de doigt.
"On a l'habitude de relever des empreintes mais c'est plutôt rare de trouver carrément le doigt...", a simplement commenté la police. Le voleur a été rapidement appréhendé.
Un Jordanien a été arrêté pour avoir tenté d'escroquer un agent de change en lui présentant de faux papiers... avec la photo de Brad Pitt.
A Vienne, des cambrioleurs ont eu la surprise de découvrir dans l'appartement qu'ils "visitaient" huit têtes humaines coupées. Le propriétaire, un chirurgien dentiste, muni des autorisations nécessaires, les avait momifiées à des fins de recherche.
En Inde, après un vol de nourriture, les chefs d'un village ont forcé plus de 150 hommes à plonger leurs mains dans de l'huile bouillante pour prouver leur innocence.
Un automobiliste australien arrêté pour conduite en état d'ivresse a menacé les policiers avec un serpent qu'il avait ramassé sur la route.
A Cologne, un chirurgien esthétique escroqué par deux clientes qui ne l'avaient pas payé a remis à la police des photos de leurs poitrines "améliorées" afin de faciliter les recherches. Photos reproduites par le journal Bild, désireux probablement d'aider la justice.
Une jeune Bavaroise qui ne voulait pas se rendre à son travail a envoyé un SMS à ses parents pour leur dire qu'elle avait été kidnappée.
Un chauffeur de taxi allemand a fait fuir un voleur qui lui braquait un pistolet sur la tempe en lui criant "Pour l'amour de Dieu, c'est le réveillon de Noël !".
LIBIDO DÉBRIDÉE
Un Anglais de 29 ans, victime d'un accident du travail qui lui a laissé des séquelles psychologiques et l'a transformé en véritable obsédé sexuel, ruinant ainsi son mariage, a obtenu plus de trois millions de livres sterling de dédommagement.
L'insolite a parfois rejoint le tragique. A Hanoï, un amuseur célèbre pour sa capacité à résister aux chocs électriques est mort électrocuté en tentant de réparer un groupe électrogène.
A Rio de Janeiro, un homme trop curieux s'est tué en voulant ouvrir une roquette avec une masse.
L'année avait mal commencé pour le vice-président américain Dick Cheney, qui avait blessé un ami lors d'une partie de chasse.
En Hongrie, le Premier ministre Ferenc Gyurcsany a provoqué des émeutes en admettant en public avoir menti au peuple pour gagner les élections.
Cherie, l'épouse du Premier ministre britannique Tony Blair, a été interrogée par la police après avoir fait semblant de donner une claque à un adolescent malpoli.
A Bangkok, les chefs militaires putschistes ont interdit aux "go-go girls" de danser dans les rues devant les soldats. Cela faisait désordre.
A Philadelphie, un homme a menacé avec un pistolet l'entraîneur de l'équipe de football de son fils pour obtenir une prolongation de jeu.
A Coblence, en Allemagne, une femme a été arrêtée alors qu'elle transportait dans sa voiture le corps de sa mère pour éviter de payer le corbillard.
Toujours en Allemagne, deux employées de l'agence pour l'Emploi qui s'échangeaient des courriels internes pour se plaindre de leur morne vie sexuelle ont, à la suite d'une erreur de manipulation, partagé leurs confessions intimes avec des milliers de collègues.
Un pilote de la compagnie aérienne Jazz, une filiale d'Air Canada, s'est retrouvé bloqué hors de la cabine de pilotage après s'être rendu aux toilettes.
En Côte d'Ivoire, un détenu et une détenue se sont mariés après être tombés amoureux en se voyant seulement par le judas de la porte de leurs cellules.
En Finlande, une femme a été condamnée à rembourser un homme de 74 ans qui avait payé 25.500 euros pour pouvoir lui caresser les seins. "Il est clair que la somme était disproportionnée", a estimé le juge.
dimanche, décembre 31, 2006
Les juges redessinent les contours de l'art
Les juges redessinent les contours de l'art
Trois procès en cours posent la délicate question du droit d'auteur et de la définition d'une oeuvre conceptuelle.
Par Jacqueline COIGNARD, Edouard LAUNET
QUOTIDIEN : samedi 30 décembre 2006
8 réactions
Augmenter la police
Qu'est-ce qu'une oeuvre d'art ? Etrangement, c'est devant les tribunau que la question est aujourd'hui le plus âprement débattue. Trois affaire récentes ont amené, ou vont amener, des juges à analyser au regard d droit d'auteur des oeuvres plus ou moins conceptuelles : sont-elle protégeables ? Qui en est l'auteur ? Et dans le fond y a-t-il vraiment oeuvre
Sur le même sujet
«Le droit doit englober l'art de son temps»
«Comme en pub, l'idée doit faire vendre»
Chausse-trapes
Duchamp, à combien l'urinoir?
Spoerri, un «Petit Déjeuner» mal digéré
Bettina Rheims n'emporte pas «Paradis»
A savoir
Attentat. Première affaire : un facétieux «performeur», Pierre Pinoncelli, a brisé à coups de masse un des exemplaires de Fountain de Marcel Duchamp, célèbre ready-made se résumant à un urinoir de faïence tout à fait standard mais signé par l'artiste ( Libération du 25 novembre). Cet attentat pose la question de la valeur de l'objet, dont la fixation permettra d'évaluer l'importance du préjudice subi par le propriétaire (l'Etat). Vaut-il 83 euros comme l'a suggéré le mois dernier, lors d'une audience en appel, l'avocat général après consultation du catalogue d'un fabricant de sanitaires ? Ou 2,8 millions d'euros, comme le clame le musée national d'Art moderne (centre Pompidou), dépositaire de l'urinoir duchampien, en se référant aux dernières transactions sur des «multiples» de Fountain ? Réponse de la cour d'appel de Paris fin janvier.
Deux : l'acheteur d'un «tableau-piège» de Daniel Spoerri (reliefs d'un petit déjeuner collés sur bois) s'est senti lésé lorsqu'il s'est rendu compte que le tableau, bien que signé par l'artiste, avait été matériellement réalisé par un enfant de 11 ans : il s'est retourné contre le commissaire-priseur et a finalement eu gain de cause l'an dernier, après quelques allers-retours entre cour d'appel et Cour de cassation. Cette dernière a considéré que Spoerri n'était pas l'auteur «effectif» de l'oeuvre. Sans doute pourrait-elle en dire autant de l'urinoir de Duchamp. N'empêche que le tableau-piège vient de trouver preneur à près de 28 000 euros...
Trois : un artiste, Jakob Gautel, intervenant dans l'espace public via des inscriptions «décalées», poursuit la photographe Bettina Rheims pour contrefaçon, l'accusant d'avoir reproduit une de ses oeuvres sans autorisation. Pour son triptyque la Nouvelle Eve, Bettina Rheims a photographié deux femmes à l'hôpital psychiatrique (désaffecté) de Ville-Evrard, devant une porte (celle des toilettes du dortoir des alcooliques) au-dessus de laquelle Jakob Gautel avait écrit... le mot «Paradis». Gautel a gagné en appel son procès pour contrefaçon : la cour d'appel a estimé que l'inscription, par son esthétique propre (forme des lettres, etc.), constituait une forme originale portant la marque et l'empreinte personnelle de l'auteur, et que Bettina Rheims en avait tiré parti dans la construction de ses images. L'affaire devrait aller en cassation l'an prochain.
Dynamite. Le problème posé aux juges peut donc se résumer comme suit. D'un côté, des créations qui dynamitent la notion classique d'oeuvre d'art, et dont le support matériel est avant tout le support d'un halo d'idées et de provocation. De l'autre, des textes de loi qui exigent d'une oeuvre, pour qu'elle bénéficie d'une protection au titre du droit d'auteur, de répondre à trois conditions : résulter d'une idée originale, s'incarner dans une forme, avoir une forme originale.
D'où cette question : le droit d'auteur est-il encore adapté à l'art conceptuel ? Oui, répond Edouard Treppoz, maître de conférences à l'université Jean-Moulin de Lyon, en s'appuyant sur le jugement dans l'affaire opposant Jakob Gautel et Bettina Rheims (dans la revue Recueil Dalloz, 2006, no 15). Mais il concède : «Pour autant, cette décision recèle des dangers, notamment celui d'une surprotection au détriment des créations futures.» Il faudra donc faire confiance aux juges pour «trouver un équilibre afin que la protection ne devienne pas une entrave à la liberté créatrice». Pour le juriste et philosophe Bernard Edelman (lire ci-contre), ce jugement de la cour d'appel de Paris a franchi les bornes : «Si nous acceptons de protéger par le droit d'auteur certaines formes d'art contemporain où l'idée originale est au coeur de la création, nous risquons de subvertir tout notre système : tout le monde pourra se proclamer auteur» ( Recueil Dalloz , 2006, no 37).
«Révolution». Agnès Tricoire, avocate spécialiste en propriété intellectuelle (lire aussi ci-contre), est également inquiète, mais pour des raisons diamétralement opposées : commentant la décision en cassation déniant à Spoerri sa qualité d'auteur du «tableau-piège», elle écrit : «Voilà une révolution qui menace la protection, par le droit d'auteur, de bon nombre de pratiques artistiques contemporaines» ( Recueil Dalloz , 2006, no 16).
Michel Dobkine, directeur de l'Ecole nationale de la magistrature (ENM) et amateur d'art, convient que, pour un juge, «mieux vaut ne pas tomber du placard lorsqu'un plaideur vous parle d'art conceptuel». Il estimerait «intéressant» que l'ENM crée «une chaire dédiée à l'art et au droit en partenariat avec une école des beaux-arts, sans aucune finalité normative bien sûr». Mais Michel Dobkine prévient : «De toute façon, l'art par rapport au droit demeurera toujours premier, en avant. D'une certaine façon, le droit est le lieu de tous les conservatismes. A-t-on jamais parlé d'avant-garde en matière juridique ?»
Les arrêts dans les affaires Gautel-Rheims et Spoerri émettent, on l'a vu, des signaux contradictoires. Le jugement en appel, le 26 janvier, sur l'urinoir de Duchamp permettra-t-il d'y voir plus clair ? Il est au moins assuré de réactiver la grande querelle de l'art contemporain.
Trois procès en cours posent la délicate question du droit d'auteur et de la définition d'une oeuvre conceptuelle.
Par Jacqueline COIGNARD, Edouard LAUNET
QUOTIDIEN : samedi 30 décembre 2006
8 réactions
Augmenter la police
Qu'est-ce qu'une oeuvre d'art ? Etrangement, c'est devant les tribunau que la question est aujourd'hui le plus âprement débattue. Trois affaire récentes ont amené, ou vont amener, des juges à analyser au regard d droit d'auteur des oeuvres plus ou moins conceptuelles : sont-elle protégeables ? Qui en est l'auteur ? Et dans le fond y a-t-il vraiment oeuvre
Sur le même sujet
«Le droit doit englober l'art de son temps»
«Comme en pub, l'idée doit faire vendre»
Chausse-trapes
Duchamp, à combien l'urinoir?
Spoerri, un «Petit Déjeuner» mal digéré
Bettina Rheims n'emporte pas «Paradis»
A savoir
Attentat. Première affaire : un facétieux «performeur», Pierre Pinoncelli, a brisé à coups de masse un des exemplaires de Fountain de Marcel Duchamp, célèbre ready-made se résumant à un urinoir de faïence tout à fait standard mais signé par l'artiste ( Libération du 25 novembre). Cet attentat pose la question de la valeur de l'objet, dont la fixation permettra d'évaluer l'importance du préjudice subi par le propriétaire (l'Etat). Vaut-il 83 euros comme l'a suggéré le mois dernier, lors d'une audience en appel, l'avocat général après consultation du catalogue d'un fabricant de sanitaires ? Ou 2,8 millions d'euros, comme le clame le musée national d'Art moderne (centre Pompidou), dépositaire de l'urinoir duchampien, en se référant aux dernières transactions sur des «multiples» de Fountain ? Réponse de la cour d'appel de Paris fin janvier.
Deux : l'acheteur d'un «tableau-piège» de Daniel Spoerri (reliefs d'un petit déjeuner collés sur bois) s'est senti lésé lorsqu'il s'est rendu compte que le tableau, bien que signé par l'artiste, avait été matériellement réalisé par un enfant de 11 ans : il s'est retourné contre le commissaire-priseur et a finalement eu gain de cause l'an dernier, après quelques allers-retours entre cour d'appel et Cour de cassation. Cette dernière a considéré que Spoerri n'était pas l'auteur «effectif» de l'oeuvre. Sans doute pourrait-elle en dire autant de l'urinoir de Duchamp. N'empêche que le tableau-piège vient de trouver preneur à près de 28 000 euros...
Trois : un artiste, Jakob Gautel, intervenant dans l'espace public via des inscriptions «décalées», poursuit la photographe Bettina Rheims pour contrefaçon, l'accusant d'avoir reproduit une de ses oeuvres sans autorisation. Pour son triptyque la Nouvelle Eve, Bettina Rheims a photographié deux femmes à l'hôpital psychiatrique (désaffecté) de Ville-Evrard, devant une porte (celle des toilettes du dortoir des alcooliques) au-dessus de laquelle Jakob Gautel avait écrit... le mot «Paradis». Gautel a gagné en appel son procès pour contrefaçon : la cour d'appel a estimé que l'inscription, par son esthétique propre (forme des lettres, etc.), constituait une forme originale portant la marque et l'empreinte personnelle de l'auteur, et que Bettina Rheims en avait tiré parti dans la construction de ses images. L'affaire devrait aller en cassation l'an prochain.
Dynamite. Le problème posé aux juges peut donc se résumer comme suit. D'un côté, des créations qui dynamitent la notion classique d'oeuvre d'art, et dont le support matériel est avant tout le support d'un halo d'idées et de provocation. De l'autre, des textes de loi qui exigent d'une oeuvre, pour qu'elle bénéficie d'une protection au titre du droit d'auteur, de répondre à trois conditions : résulter d'une idée originale, s'incarner dans une forme, avoir une forme originale.
D'où cette question : le droit d'auteur est-il encore adapté à l'art conceptuel ? Oui, répond Edouard Treppoz, maître de conférences à l'université Jean-Moulin de Lyon, en s'appuyant sur le jugement dans l'affaire opposant Jakob Gautel et Bettina Rheims (dans la revue Recueil Dalloz, 2006, no 15). Mais il concède : «Pour autant, cette décision recèle des dangers, notamment celui d'une surprotection au détriment des créations futures.» Il faudra donc faire confiance aux juges pour «trouver un équilibre afin que la protection ne devienne pas une entrave à la liberté créatrice». Pour le juriste et philosophe Bernard Edelman (lire ci-contre), ce jugement de la cour d'appel de Paris a franchi les bornes : «Si nous acceptons de protéger par le droit d'auteur certaines formes d'art contemporain où l'idée originale est au coeur de la création, nous risquons de subvertir tout notre système : tout le monde pourra se proclamer auteur» ( Recueil Dalloz , 2006, no 37).
«Révolution». Agnès Tricoire, avocate spécialiste en propriété intellectuelle (lire aussi ci-contre), est également inquiète, mais pour des raisons diamétralement opposées : commentant la décision en cassation déniant à Spoerri sa qualité d'auteur du «tableau-piège», elle écrit : «Voilà une révolution qui menace la protection, par le droit d'auteur, de bon nombre de pratiques artistiques contemporaines» ( Recueil Dalloz , 2006, no 16).
Michel Dobkine, directeur de l'Ecole nationale de la magistrature (ENM) et amateur d'art, convient que, pour un juge, «mieux vaut ne pas tomber du placard lorsqu'un plaideur vous parle d'art conceptuel». Il estimerait «intéressant» que l'ENM crée «une chaire dédiée à l'art et au droit en partenariat avec une école des beaux-arts, sans aucune finalité normative bien sûr». Mais Michel Dobkine prévient : «De toute façon, l'art par rapport au droit demeurera toujours premier, en avant. D'une certaine façon, le droit est le lieu de tous les conservatismes. A-t-on jamais parlé d'avant-garde en matière juridique ?»
Les arrêts dans les affaires Gautel-Rheims et Spoerri émettent, on l'a vu, des signaux contradictoires. Le jugement en appel, le 26 janvier, sur l'urinoir de Duchamp permettra-t-il d'y voir plus clair ? Il est au moins assuré de réactiver la grande querelle de l'art contemporain.
mercredi, décembre 27, 2006
L'armée australienne invitée à déclarer la guerre aux crapauds
L'armée australienne invitée à déclarer la guerre aux crapauds
[2006-12-27 08:05]
CANBERRA, Australie
Les défenseurs australiens de l'environnement ont invité l'armée à se mobiliser pour partir en guerre contre une espèce de crapauds, les "cane toads", dont l'invasion dans le Nord de l'"île-continent" est assimilée à un fléau.
Ces batraciens, qui avaient été introduits en Australie d'Hawaï en 1935 pour lutter contre les scarabées, ont gagné 3.000 km pour s'étendre de l'Etat de Queensland, dans le Nord-Est, à Darwin, dans le nord.
Ils seraient aujourd'hui plus de 200 millions et leur introduction est vécue comme une catastrophe pour l'environnement comparable à celle des lapins.
"Il faut mobiliser le maximum de gens sur le terrain, et si l'armée peut arrêter une stratégie pour maîtriser l'invasion de crapauds, ce serait formidable", a déclaré mercredi à la radio publique ABC le porte-parole de l'association Frog Watch (Alerte aux Crapauds), Ian Morris.
La peau de cette espèce de batraciens est venimeuse, et ils sont responsables d'un déclin spectaculaire de la population de serpents, de lézards et de marsupiaux en Australie.
[2006-12-27 08:05]
CANBERRA, Australie
Les défenseurs australiens de l'environnement ont invité l'armée à se mobiliser pour partir en guerre contre une espèce de crapauds, les "cane toads", dont l'invasion dans le Nord de l'"île-continent" est assimilée à un fléau.
Ces batraciens, qui avaient été introduits en Australie d'Hawaï en 1935 pour lutter contre les scarabées, ont gagné 3.000 km pour s'étendre de l'Etat de Queensland, dans le Nord-Est, à Darwin, dans le nord.
Ils seraient aujourd'hui plus de 200 millions et leur introduction est vécue comme une catastrophe pour l'environnement comparable à celle des lapins.
"Il faut mobiliser le maximum de gens sur le terrain, et si l'armée peut arrêter une stratégie pour maîtriser l'invasion de crapauds, ce serait formidable", a déclaré mercredi à la radio publique ABC le porte-parole de l'association Frog Watch (Alerte aux Crapauds), Ian Morris.
La peau de cette espèce de batraciens est venimeuse, et ils sont responsables d'un déclin spectaculaire de la population de serpents, de lézards et de marsupiaux en Australie.
mardi, décembre 26, 2006
Un voleur repentant, qui avait dérobé 3.000 euros dans un bureau de poste allemand la veille de Noël, a rendu les deux tiers de son butin quelques heu
BERLIN, Allemagne - Un voleur repentant, qui avait dérobé 3.000 euros dans un bureau de poste allemand la veille de Noël, a rendu les deux tiers de son butin quelques heures plus tard.
L'homme, qui a gardé quelque 1.000 euros, a téléphoné à la police de Maroldweisach, en Bavière, pour présenter ses excuses en expliquant qu'il "avait commis une erreur stupide", puis a indiqué que l'argent se trouvait dans une enveloppe déposée dans une église.
"On ignore pourquoi il n'avait pas assez mauvaise conscience pour rendre la totalité de la somme", a commenté un porte-parole de la police qui a récupéré l'enveloppe.
L'homme, qui a gardé quelque 1.000 euros, a téléphoné à la police de Maroldweisach, en Bavière, pour présenter ses excuses en expliquant qu'il "avait commis une erreur stupide", puis a indiqué que l'argent se trouvait dans une enveloppe déposée dans une église.
"On ignore pourquoi il n'avait pas assez mauvaise conscience pour rendre la totalité de la somme", a commenté un porte-parole de la police qui a récupéré l'enveloppe.
mercredi, décembre 20, 2006
Un père Noël entarté troque son bonnet contre un casque
Un père Noël entarté troque son bonnet contre un casque
[2006-12-20 15:52]
LONDRES, Royaume-Uni - Le père Noël d'un centre commercial écossais a troqué son bonnet rouge et blanc contre un casque de chantier après avoir été bombardé de tartes de Noël par des enfants.
Tandis qu'il distribuait le week-end dernier des chocolats dans une rue de Paisley, près de Glasgow, le père Noël a reçu sur la tête un lot de patisseries jetées depuis un balcon.
"La santé et la sécurité sont primordiales", a déclaré mercredi le gérant du centre commercial Andrew MacKinnon. "Nous l'avons équipé d'un casque jaune rehaussé de ramure de renne pour lui donner un aspect plus festif."
L'année dernière, une bande de jeunes gens s'en était pris au père Noël du centre commercial en l'accusant d'être "une arnaque et un faux".
[2006-12-20 15:52]
LONDRES, Royaume-Uni - Le père Noël d'un centre commercial écossais a troqué son bonnet rouge et blanc contre un casque de chantier après avoir été bombardé de tartes de Noël par des enfants.
Tandis qu'il distribuait le week-end dernier des chocolats dans une rue de Paisley, près de Glasgow, le père Noël a reçu sur la tête un lot de patisseries jetées depuis un balcon.
"La santé et la sécurité sont primordiales", a déclaré mercredi le gérant du centre commercial Andrew MacKinnon. "Nous l'avons équipé d'un casque jaune rehaussé de ramure de renne pour lui donner un aspect plus festif."
L'année dernière, une bande de jeunes gens s'en était pris au père Noël du centre commercial en l'accusant d'être "une arnaque et un faux".
Libération de vaches contre coups de hache
Libération de vaches contre coups de hache
[2006-12-19 17:56]
BERLIN, Allemagne - Un fermier allemand a accueilli une hache à la main les policiers qui voulaient lui enlever ses 17 vaches, confinées au mépris de la loi dans une étable dépourvue de fenêtres.
L'homme de 47 ans, du village d'Ebern, près de Wurzbourg, s'est emparé d'une hache et d'une barre de fer et a commencé à lancer des briques sur les policiers.
Après avoir blessé l'un des agents qui tentait de lui arracher la hache et avoir asséné à deux autres policiers plusieurs coups de barre de fer, le fermier a tenté de prendre la fuite.
Un policier a alors ouvert le feu et l'a blessé à la jambe.
[2006-12-19 17:56]
BERLIN, Allemagne - Un fermier allemand a accueilli une hache à la main les policiers qui voulaient lui enlever ses 17 vaches, confinées au mépris de la loi dans une étable dépourvue de fenêtres.
L'homme de 47 ans, du village d'Ebern, près de Wurzbourg, s'est emparé d'une hache et d'une barre de fer et a commencé à lancer des briques sur les policiers.
Après avoir blessé l'un des agents qui tentait de lui arracher la hache et avoir asséné à deux autres policiers plusieurs coups de barre de fer, le fermier a tenté de prendre la fuite.
Un policier a alors ouvert le feu et l'a blessé à la jambe.
lundi, décembre 18, 2006
Des volontaires du sourire pour préparer l'expo 2010 de Shanghai
Des volontaires du sourire pour préparer l'expo 2010 de Shanghai
[2006-12-18 07:13]
SHANGHAI, Chine - Soucieuse de présenter un visage accueillant aux visiteurs dans la perspective de l'exposition universelle de 2010, Shanghai déploie dans ses rues des brigades de "volontaires du sourire" chargés d'apprendre à la population comment ne pas rester de marbre devant les étrangers.
Quarante étudiants ont signé pour aller sourire dans des lieux publics, alors qu'un sondage réalisé par un fabricant chinois de chewing-gums montre que seulement 2% des Chinois sourient aux visiteurs, rapporte lundi le China Daily.
Le groupe a effectué sa première "mission sourire" samedi dans un théâtre de Shanghai, où ses membres ont souri à chaque visiteur et lui ont demandé s'il avait besoin d'aide.
[2006-12-18 07:13]
SHANGHAI, Chine - Soucieuse de présenter un visage accueillant aux visiteurs dans la perspective de l'exposition universelle de 2010, Shanghai déploie dans ses rues des brigades de "volontaires du sourire" chargés d'apprendre à la population comment ne pas rester de marbre devant les étrangers.
Quarante étudiants ont signé pour aller sourire dans des lieux publics, alors qu'un sondage réalisé par un fabricant chinois de chewing-gums montre que seulement 2% des Chinois sourient aux visiteurs, rapporte lundi le China Daily.
Le groupe a effectué sa première "mission sourire" samedi dans un théâtre de Shanghai, où ses membres ont souri à chaque visiteur et lui ont demandé s'il avait besoin d'aide.
jeudi, novembre 30, 2006
Saladier de "cuisine électorale" à vendre à l'Assemblée
Saladier de "cuisine électorale" à vendre à l'Assemblée
[2006-11-29 19:01]
PARIS, France
Les citoyens friands de gadgets tricolores à caractère politique teinté d'un brin d'ironie peuvent aller faire un tour à la "boutique" de l'Assemblée nationale, située près du Palais-Bourbon.
Elle a été inaugurée mercredi par Jean-Louis Debré.
"80% des nouveaux produits, je les ai dessinés", a affirmé le président de l'Assemblée en montrant une série d'objets dignes d'un inventaire à la Prévert.
A commencer par des tabliers de cuisine, rouges, bleus ou blancs sur lesquels ont peut lire "cuisine électorale" et munis de quatre poches frappées du sigle des partis disposant d'un groupe à l'Assemblée : UMP, PS, UDF et PCF.
Le président de l'Assemblée, qui dit s'être inspiré de parlements à l'étranger, a encore présenté des saladiers sur lesquels est écrit "salade électorale" et des boutons de manchettes où l'on peut lire "droite" ou "gauche".
Il y avait aussi des baromètres "pour observer le temps politique", des balles de golf tricolores, des gants "droite" et "gauche", et chaussettes et tee-shirts de toutes tailles sur lesquels est imprimé "100% pour" ou "100% contre".
"Ca marche du tonnerre", a assuré une vendeuse.
Les objets classiques qui étaient déjà en vente au "kiosque", la précédente boutique qui était blottie dans un coin du Palais-Bourbon, sont toujours là : parapluies, cartes postales ou de voeux, montres, stylos, bloc-notes, cravates ou encore puzzles, le tout aux couleurs nationales.
Les bénéfices de la "boutique" serviront à enrichir les différentes collections du Palais-Bourbon relatives à la vie politique et parlementaire.
[2006-11-29 19:01]
PARIS, France
Les citoyens friands de gadgets tricolores à caractère politique teinté d'un brin d'ironie peuvent aller faire un tour à la "boutique" de l'Assemblée nationale, située près du Palais-Bourbon.
Elle a été inaugurée mercredi par Jean-Louis Debré.
"80% des nouveaux produits, je les ai dessinés", a affirmé le président de l'Assemblée en montrant une série d'objets dignes d'un inventaire à la Prévert.
A commencer par des tabliers de cuisine, rouges, bleus ou blancs sur lesquels ont peut lire "cuisine électorale" et munis de quatre poches frappées du sigle des partis disposant d'un groupe à l'Assemblée : UMP, PS, UDF et PCF.
Le président de l'Assemblée, qui dit s'être inspiré de parlements à l'étranger, a encore présenté des saladiers sur lesquels est écrit "salade électorale" et des boutons de manchettes où l'on peut lire "droite" ou "gauche".
Il y avait aussi des baromètres "pour observer le temps politique", des balles de golf tricolores, des gants "droite" et "gauche", et chaussettes et tee-shirts de toutes tailles sur lesquels est imprimé "100% pour" ou "100% contre".
"Ca marche du tonnerre", a assuré une vendeuse.
Les objets classiques qui étaient déjà en vente au "kiosque", la précédente boutique qui était blottie dans un coin du Palais-Bourbon, sont toujours là : parapluies, cartes postales ou de voeux, montres, stylos, bloc-notes, cravates ou encore puzzles, le tout aux couleurs nationales.
Les bénéfices de la "boutique" serviront à enrichir les différentes collections du Palais-Bourbon relatives à la vie politique et parlementaire.
mercredi, novembre 29, 2006
Des cochons dévorent un enfant de trois ans
Des cochons dévorent un enfant de trois ans
[2006-11-29 09:37]
NEW DELHI, Inde - Un petit garçon de trois ans a été dévoré par des cochons dans un village des faubourgs de New Delhi, la capitale indienne, rapporte mercredi le journal Hindustan Times.
Ajay avait à la main un morceau de pain lorsque les animaux se sont jetés sur lui. La famille déjeunait à l'intérieur de la maison et ne s'est pas aperçue tout de suite de la disparition de l'enfant.
"Quelques minutes plus tard, sa mère a remarqué que les cochons étaient en train de mâcher quelque chose. Elle a reconnu les vêtements du bébé et a commencé à crier et à jeter des pierres aux animaux", a raconté l'un des oncles de l'enfant.
Seuls les bras et les jambes d'Ajay ont pu être retrouvés.
Le propriétaire des cochons devra répondre d'homicide par imprudence, a précisé le police.
[2006-11-29 09:37]
NEW DELHI, Inde - Un petit garçon de trois ans a été dévoré par des cochons dans un village des faubourgs de New Delhi, la capitale indienne, rapporte mercredi le journal Hindustan Times.
Ajay avait à la main un morceau de pain lorsque les animaux se sont jetés sur lui. La famille déjeunait à l'intérieur de la maison et ne s'est pas aperçue tout de suite de la disparition de l'enfant.
"Quelques minutes plus tard, sa mère a remarqué que les cochons étaient en train de mâcher quelque chose. Elle a reconnu les vêtements du bébé et a commencé à crier et à jeter des pierres aux animaux", a raconté l'un des oncles de l'enfant.
Seuls les bras et les jambes d'Ajay ont pu être retrouvés.
Le propriétaire des cochons devra répondre d'homicide par imprudence, a précisé le police.
vendredi, novembre 24, 2006
Un mariage sur un iceberg prend l'eau
Un mariage sur un iceberg prend l'eau
[2006-11-24 10:11]
WELLINGTON, Nouvelle-zélande - Un couple de Néo-Zélandais avait décidé de se marier sur l'un des gigantesques icebergs qui dérivent au large des côtes de l'île de South Island mais le projet prend l'eau, selon un journal local.
Bridget Byers et Donald Wyatt, originaires de Dunedin avaient tout mis en place mais leur ardeur est confrontée au trop risque évoqué par le pilote d'hélicoptère censé déposer les deux amoureux et l'officiant religieux sur l'îlot de glace, rapporte l'Otago Daily Times.
La lente fonte des icebergs tandis qu'ils progressent vers le Nord fait qu'il est difficile de trouver un endroit sûr pour les tourtereaux, sans parler de certaines préoccupations juridiques.
La loi néo-zélandaise requiert que les mariages soient célébrés au maximum à 12 milles des côtes pour être déclarés légaux et l'iceberg le plus proche est à deux fois la distance.
Byers n'a pas souhaité s'exprimer sur les noces, disant que des discussions étaient en cours avec un magazine féminin pour les droits de couverture de la cérémonie. Le doute subsistait pour l'instant quant à savoir si les amants iraient au bout de leurs envies.
[2006-11-24 10:11]
WELLINGTON, Nouvelle-zélande - Un couple de Néo-Zélandais avait décidé de se marier sur l'un des gigantesques icebergs qui dérivent au large des côtes de l'île de South Island mais le projet prend l'eau, selon un journal local.
Bridget Byers et Donald Wyatt, originaires de Dunedin avaient tout mis en place mais leur ardeur est confrontée au trop risque évoqué par le pilote d'hélicoptère censé déposer les deux amoureux et l'officiant religieux sur l'îlot de glace, rapporte l'Otago Daily Times.
La lente fonte des icebergs tandis qu'ils progressent vers le Nord fait qu'il est difficile de trouver un endroit sûr pour les tourtereaux, sans parler de certaines préoccupations juridiques.
La loi néo-zélandaise requiert que les mariages soient célébrés au maximum à 12 milles des côtes pour être déclarés légaux et l'iceberg le plus proche est à deux fois la distance.
Byers n'a pas souhaité s'exprimer sur les noces, disant que des discussions étaient en cours avec un magazine féminin pour les droits de couverture de la cérémonie. Le doute subsistait pour l'instant quant à savoir si les amants iraient au bout de leurs envies.
jeudi, novembre 23, 2006
Le swing du siècle, une balle de golf en orbite
Le swing du siècle, une balle de golf en orbite
[2006-11-23 11:23]
HOUSTON, Etats-Unis - Le cosmonaute Mikhaïl Tiourine a mis en orbite une balle de golf lors d'une sortie dans l'espace hors de la Station spatiale internationale, un swing hors norme destiné à collecter des fonds pour le programme spatial russe.
Tiourine, qui avait joué deux fois au golf dans sa vie, a frappé la balle d'une main avec un fer n°6 plaqué or plaçant sa balle en orbite autour de la Terre, une trajectoire qu'elle devrait conserver pendant au moins 48h avant de brûler et se désintégrer en pénétrant dans l'atmosphère.
Il aura fallu 16 minutes au cosmonaute pour préparer son swing depuis une échelle du module d'arrimage de l'ISS, assisté dans son entreprise par l'astronaute Michael Lopez-Alegria et guidé par les contrôleurs de vol soviétiques.
Le fabricant de clubs canadien Element 21 Golf Co. a financé l'opération, filmée, pour une somme non communiquée.
[2006-11-23 11:23]
HOUSTON, Etats-Unis - Le cosmonaute Mikhaïl Tiourine a mis en orbite une balle de golf lors d'une sortie dans l'espace hors de la Station spatiale internationale, un swing hors norme destiné à collecter des fonds pour le programme spatial russe.
Tiourine, qui avait joué deux fois au golf dans sa vie, a frappé la balle d'une main avec un fer n°6 plaqué or plaçant sa balle en orbite autour de la Terre, une trajectoire qu'elle devrait conserver pendant au moins 48h avant de brûler et se désintégrer en pénétrant dans l'atmosphère.
Il aura fallu 16 minutes au cosmonaute pour préparer son swing depuis une échelle du module d'arrimage de l'ISS, assisté dans son entreprise par l'astronaute Michael Lopez-Alegria et guidé par les contrôleurs de vol soviétiques.
Le fabricant de clubs canadien Element 21 Golf Co. a financé l'opération, filmée, pour une somme non communiquée.
Des emprunts remboursés en fromages
Des emprunts remboursés en fromages
[2006-11-21 12:55]
NICE, France - Manuel et Sandrine Rogeri, éleveurs installés à la Bollène-Vésubie dans le haut-pays niçois, ont trouvé une idée originale pour développer leur exploitation: emprunter à des particuliers des fonds qu'ils remboursent en fromages et produits maison.
Ce système, mis en place il y a trois ans pour éviter le prêt bancaire classique, commence à bien fonctionner.
"On ne voulait pas passer par les circuits bancaires traditionnels pour nous agrandir, nous empruntons donc de l'argent à des privés, ceux qui nous permettent d'acheter une vache, une demi-vache ou une chèvre, nous les remboursons sous forme de fromages ou autres produits laitiers faits à la maison", dit Sandrine, qui dispose d'une formation d'ingénieur.
Sachant, par exemple, que Sandrine et Manuel ont acheté une vache 1.370 euros, somme considérable pour eux, ils se sont engagés à rembourser leur prêteur pendant six ans à raison de 24 kg de fromage par an, et en tenant compte d'un intérêt de 10 % l'an.
Même opération pour ceux qui veulent "parrainer" une chèvre d'une valeur de 300 euros, ils ont le droit pendant trois ans à neuf kg de fromage, yaourts, tomme de la Vésubie ou bleu du pays, par an et au fur et à mesure de leurs besoins.
"Ce qui est bien, c'est qu'avec ce système, les gens se sentent impliqués, concernés par notre exploitation et la manière dont elle fonctionne", précise Sandrine.
"Et nous, cela nous permet d'avoir d'autre rapports avec eux que ceux basés sur l'argent, cela nous donne une ouverture d'esprit et nous offre l'occasion de rencontres inhabituelles".
La jeune femme, âgée d'une trentaine d'années, reconnaît qu'au bout du compte son système revient sans doute aussi cher que de passer par des circuits traditionnels de crédit, "mais tant pis: sans dossier à monter, sans intermédiaire, les liens directs avec les consommateurs sont beaucoup plus sympathiques".
Sandrine et Manuel ont aujourd'hui 35 "parrains" qui leur ont permis d'acheter 25 vaches et une dizaine de chèvres.
[2006-11-21 12:55]
NICE, France - Manuel et Sandrine Rogeri, éleveurs installés à la Bollène-Vésubie dans le haut-pays niçois, ont trouvé une idée originale pour développer leur exploitation: emprunter à des particuliers des fonds qu'ils remboursent en fromages et produits maison.
Ce système, mis en place il y a trois ans pour éviter le prêt bancaire classique, commence à bien fonctionner.
"On ne voulait pas passer par les circuits bancaires traditionnels pour nous agrandir, nous empruntons donc de l'argent à des privés, ceux qui nous permettent d'acheter une vache, une demi-vache ou une chèvre, nous les remboursons sous forme de fromages ou autres produits laitiers faits à la maison", dit Sandrine, qui dispose d'une formation d'ingénieur.
Sachant, par exemple, que Sandrine et Manuel ont acheté une vache 1.370 euros, somme considérable pour eux, ils se sont engagés à rembourser leur prêteur pendant six ans à raison de 24 kg de fromage par an, et en tenant compte d'un intérêt de 10 % l'an.
Même opération pour ceux qui veulent "parrainer" une chèvre d'une valeur de 300 euros, ils ont le droit pendant trois ans à neuf kg de fromage, yaourts, tomme de la Vésubie ou bleu du pays, par an et au fur et à mesure de leurs besoins.
"Ce qui est bien, c'est qu'avec ce système, les gens se sentent impliqués, concernés par notre exploitation et la manière dont elle fonctionne", précise Sandrine.
"Et nous, cela nous permet d'avoir d'autre rapports avec eux que ceux basés sur l'argent, cela nous donne une ouverture d'esprit et nous offre l'occasion de rencontres inhabituelles".
La jeune femme, âgée d'une trentaine d'années, reconnaît qu'au bout du compte son système revient sans doute aussi cher que de passer par des circuits traditionnels de crédit, "mais tant pis: sans dossier à monter, sans intermédiaire, les liens directs avec les consommateurs sont beaucoup plus sympathiques".
Sandrine et Manuel ont aujourd'hui 35 "parrains" qui leur ont permis d'acheter 25 vaches et une dizaine de chèvres.
L'amant éconduit lacère le "waterbed" de la discorde
L'amant éconduit lacère le "waterbed" de la discorde
[2006-11-22 14:19]
BERLIN, Allemagne - Parce que sa petite amie refusait de passer la soirée ensemble chez eux, un Allemand de 37 ans a sauvagement lacéré au couteau le "waterbed" de sa fiancée qui était sortie. Son geste de mauvaise humeur a provoqué une inondation dans l'appartement ainsi que la rupture du couple. La jeune femme, âgée de 33 ans, a du faire appel aux pompiers, a indiqué mercredi la police d'Aix-la-Chapelle. Elle a porté plainte contre son ancien amant irascible pour le dégât des eaux dans son appartement chiffré à plus de 5.000 euros, comprenant la valeur d'achat (3.000 euros) du "waterbed".
[2006-11-22 14:19]
BERLIN, Allemagne - Parce que sa petite amie refusait de passer la soirée ensemble chez eux, un Allemand de 37 ans a sauvagement lacéré au couteau le "waterbed" de sa fiancée qui était sortie. Son geste de mauvaise humeur a provoqué une inondation dans l'appartement ainsi que la rupture du couple. La jeune femme, âgée de 33 ans, a du faire appel aux pompiers, a indiqué mercredi la police d'Aix-la-Chapelle. Elle a porté plainte contre son ancien amant irascible pour le dégât des eaux dans son appartement chiffré à plus de 5.000 euros, comprenant la valeur d'achat (3.000 euros) du "waterbed".
jeudi, novembre 16, 2006
Le monument à la tête de chou
Le monument à la tête de chou
[2006-11-15 22:42]
BANJA LUKA, Bosnie
Une ville bosniaque a prévu d'ériger un monument géant pour honorer le chou, principale production locale.
"Notre région est connue pour le chou. Nous apprécions énormément ce légume", a déclaré Goran Peric, directeur de l'office du tourisme de Bijeljina, dans le nord-est du pays.
Peric a précisé que le monument serait érigé à temps pour la prochaine Fête du Chou, qui se tient traditionnellement en novembre.
Le chou est l'un des aliments de base préféré pendant l'hiver dans les Balkans, où il est cuisiné de multiples façons.
[2006-11-15 22:42]
BANJA LUKA, Bosnie
Une ville bosniaque a prévu d'ériger un monument géant pour honorer le chou, principale production locale.
"Notre région est connue pour le chou. Nous apprécions énormément ce légume", a déclaré Goran Peric, directeur de l'office du tourisme de Bijeljina, dans le nord-est du pays.
Peric a précisé que le monument serait érigé à temps pour la prochaine Fête du Chou, qui se tient traditionnellement en novembre.
Le chou est l'un des aliments de base préféré pendant l'hiver dans les Balkans, où il est cuisiné de multiples façons.
lundi, novembre 06, 2006
La cachette de Saddam Hussein fut-elle trouvée par un médium ?
La cachette de Saddam Hussein fut-elle trouvée par un médium ?
[2006-11-06 13:23]
HERZLIYA, Israël
Un voyant a-t-il permis à l'armée américaine de trouver la cachette de Saddam Hussein et de capturer l'ancien raïs irakien ?
Uri Geller, un médium d'origine israélienne connu pour plier les cuillères en deux du bout de ses doigts, l'affirme: c'est un phénomène paranormal qui a mis les commandos américains sur la piste de l'ancien dictateur.
"Vous vous rappelez lorsqu'ils ont trouvé Saddam Hussein en Irak ? Un soldat a contourné une pierre, l'a soulevée puis a découvert une porte secrète et l'a trouvé. Eh bien nous savons désormais que ce soldat a contourné ce rocher parce qu'il a reçu des informations par télépathie de quelqu'un aux Etats-Unis", a dit Geller à Reuters.
Le médium, qui affirme avoir travaillé pour la CIA pendant la guerre froide, a précisé qu'il avait obtenu ces informations auprès d'une source haut placée participant aux programmes de travail américains sur les phénomènes paranormaux.
L'armée américaine n'a pas souhaité réagir à ces déclarations. Au moment de la capture de Saddam Hussein, le commandement américain avait déclaré qu'un proche du fugitif l'avait dénoncé lors d'un interrogatoire.
Un médium brésilien avait essayé l'année dernière de se faire attribuer une récompense de 25 millions de dollars, alléguant avoir décrit la cachette de Saddam Hussein dans plusieurs lettres au gouvernement américain.
[2006-11-06 13:23]
HERZLIYA, Israël
Un voyant a-t-il permis à l'armée américaine de trouver la cachette de Saddam Hussein et de capturer l'ancien raïs irakien ?
Uri Geller, un médium d'origine israélienne connu pour plier les cuillères en deux du bout de ses doigts, l'affirme: c'est un phénomène paranormal qui a mis les commandos américains sur la piste de l'ancien dictateur.
"Vous vous rappelez lorsqu'ils ont trouvé Saddam Hussein en Irak ? Un soldat a contourné une pierre, l'a soulevée puis a découvert une porte secrète et l'a trouvé. Eh bien nous savons désormais que ce soldat a contourné ce rocher parce qu'il a reçu des informations par télépathie de quelqu'un aux Etats-Unis", a dit Geller à Reuters.
Le médium, qui affirme avoir travaillé pour la CIA pendant la guerre froide, a précisé qu'il avait obtenu ces informations auprès d'une source haut placée participant aux programmes de travail américains sur les phénomènes paranormaux.
L'armée américaine n'a pas souhaité réagir à ces déclarations. Au moment de la capture de Saddam Hussein, le commandement américain avait déclaré qu'un proche du fugitif l'avait dénoncé lors d'un interrogatoire.
Un médium brésilien avait essayé l'année dernière de se faire attribuer une récompense de 25 millions de dollars, alléguant avoir décrit la cachette de Saddam Hussein dans plusieurs lettres au gouvernement américain.
jeudi, novembre 02, 2006
En Allemagne, le mystère des billets qui se désintègrent
En Allemagne, le mystère des billets qui se désintègrent
[2006-11-02 13:04]
FRANCFORT, Allemagne
Des billets de banque allemands se décomposent, depuis plusieurs mois, sous l'effet d'une mystérieuse attaque à l'acide, selon un porte-parole de la banque centrale.
La police tente de déterminer pourquoi un millier de billets d'une valeur faciale de cinq à 100 euros se sont désintégrés peu après leur retrait dans des distributeurs automatiques, a déclaré Wolf-Rüdiger Bengs.
"Nous n'avons jamais rien vu de tel", a-t-il dit.
Le premier incident du genre a été signalé en juin à Berlin. Des tests ont montré que les billets avaient été victimes d'un acide puissant, et la Bundesbank a exclu que le problème provienne du processus de fabrication.
"Pour le moment, on ignore s'il s'agit de dégâts non intentionnels ou d'une manipulation consciente", a souligné le porte-parole.
Le journal allemand à grand tirage Bild-Zeitung croit savoir que les billets "contaminés" ont fait leur apparition dans 17 villes du pays.
Il cite un expert en produits chimiques selon lequel ils ont probablement été nettoyés avec un sel qui s'est transformé en acide au contact de la sueur.
La banque n'a pas précisé si cet acide pouvait provoquer des brûlures sur la peau.
[2006-11-02 13:04]
FRANCFORT, Allemagne
Des billets de banque allemands se décomposent, depuis plusieurs mois, sous l'effet d'une mystérieuse attaque à l'acide, selon un porte-parole de la banque centrale.
La police tente de déterminer pourquoi un millier de billets d'une valeur faciale de cinq à 100 euros se sont désintégrés peu après leur retrait dans des distributeurs automatiques, a déclaré Wolf-Rüdiger Bengs.
"Nous n'avons jamais rien vu de tel", a-t-il dit.
Le premier incident du genre a été signalé en juin à Berlin. Des tests ont montré que les billets avaient été victimes d'un acide puissant, et la Bundesbank a exclu que le problème provienne du processus de fabrication.
"Pour le moment, on ignore s'il s'agit de dégâts non intentionnels ou d'une manipulation consciente", a souligné le porte-parole.
Le journal allemand à grand tirage Bild-Zeitung croit savoir que les billets "contaminés" ont fait leur apparition dans 17 villes du pays.
Il cite un expert en produits chimiques selon lequel ils ont probablement été nettoyés avec un sel qui s'est transformé en acide au contact de la sueur.
La banque n'a pas précisé si cet acide pouvait provoquer des brûlures sur la peau.
jeudi, octobre 26, 2006
Les chiens de Shanghai ont la puce à l'oreille
Les chiens de Shanghai ont la puce à l'oreille
[2006-10-25 16:46]
PEKIN, Chine
Les autorités de Shanghai ont fait implanter des puces électroniques dans les oreilles de 65.000 chiens afin d'améliorer "la gestion de la population canine" et de prévenir une épidémie de rage, rapporte l'agence Chine nouvelle.
Considérés à l'époque de Mao Zedong comme un symbole de décadence bourgeoise, les chiens sont de nouveau très prisés en Chine depuis une dizaine d'années.
"Les puces contiennent un numéro d'identité permettant d'accéder à des informations sur l'animal: photo, race, sexe, couleur, vaccins, adresse du propriétaire. Il suffit simplement de saisir le numéro dans un appareil", précise l'agence.
La Chine a répertorié 2.254 cas de rage dans les neuf premiers mois de l'année, soit une hausse de 30% par rapport aux trois premiers trimestres 2005.
"L'implantation de puces devrait aider à freiner le développement de la rage, mais la généralisation du système dans tous le pays demandera du temps et des moyens, explique Chine nouvelle.
[2006-10-25 16:46]
PEKIN, Chine
Les autorités de Shanghai ont fait implanter des puces électroniques dans les oreilles de 65.000 chiens afin d'améliorer "la gestion de la population canine" et de prévenir une épidémie de rage, rapporte l'agence Chine nouvelle.
Considérés à l'époque de Mao Zedong comme un symbole de décadence bourgeoise, les chiens sont de nouveau très prisés en Chine depuis une dizaine d'années.
"Les puces contiennent un numéro d'identité permettant d'accéder à des informations sur l'animal: photo, race, sexe, couleur, vaccins, adresse du propriétaire. Il suffit simplement de saisir le numéro dans un appareil", précise l'agence.
La Chine a répertorié 2.254 cas de rage dans les neuf premiers mois de l'année, soit une hausse de 30% par rapport aux trois premiers trimestres 2005.
"L'implantation de puces devrait aider à freiner le développement de la rage, mais la généralisation du système dans tous le pays demandera du temps et des moyens, explique Chine nouvelle.
mercredi, octobre 18, 2006
Un coup de coude à 139 millions de dollars dans un Picasso
Un coup de coude à 139 millions de dollars dans un Picasso
[2006-10-18 10:31]
LOS ANGELES, Etats-Unis - Un riche propriétaire de casinos de Las Vegas a commis l'irréparable en donnant un coup de coude au tableau de Picasso intitulé "Le rêve", un geste malheureux pour une toile qu'il venait de vendre à un autre collectionneur pour 139 millions de dollars.
La réalisatrice et auteur Nora Ephron ("Nuits blanches à Seattle", "Vous avez un message", "Ma sorcière bien-aimée", ...) raconte sur son blog (www.huffingtonpost.com) la mésaventure de Steve Wynn survenue alors qu'il voulait montrer un détail du tableau à un groupe d'amis il y a quelques semaines.
Levant la main pour pointer la toile de 1932 représentant Marie-Thérèse Walter, maîtresse du peintre espagnol, son coude a heurté le canevas créant un trou de la taille d'une pièce d'un dollar.
L'incident a été confirmé mardi par l'entourage de Wynn après la publication d'un article dans la revue The New Yorker cette semaine. Le fondateur des casinos le Mirage et le Bellagio dans les années 1990 a décidé d'annuler la vente, rapporte-t-on.
[2006-10-18 10:31]
LOS ANGELES, Etats-Unis - Un riche propriétaire de casinos de Las Vegas a commis l'irréparable en donnant un coup de coude au tableau de Picasso intitulé "Le rêve", un geste malheureux pour une toile qu'il venait de vendre à un autre collectionneur pour 139 millions de dollars.
La réalisatrice et auteur Nora Ephron ("Nuits blanches à Seattle", "Vous avez un message", "Ma sorcière bien-aimée", ...) raconte sur son blog (www.huffingtonpost.com) la mésaventure de Steve Wynn survenue alors qu'il voulait montrer un détail du tableau à un groupe d'amis il y a quelques semaines.
Levant la main pour pointer la toile de 1932 représentant Marie-Thérèse Walter, maîtresse du peintre espagnol, son coude a heurté le canevas créant un trou de la taille d'une pièce d'un dollar.
L'incident a été confirmé mardi par l'entourage de Wynn après la publication d'un article dans la revue The New Yorker cette semaine. Le fondateur des casinos le Mirage et le Bellagio dans les années 1990 a décidé d'annuler la vente, rapporte-t-on.
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