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lundi, mars 03, 2003

Quand la biom�trie sert � identifier des coll�giens
[2002-11-19 16:12]

CARQUEIRANNE - Le coll�ge Joliot-Curie de Carqueiranne (Var) aura recours � la biom�trie, syst�me de reconnaissance par la main, d�s janvier pour l'accession de ses 750 demi-pensionnaires � la cantine. Apr�s avoir compos� sur un clavier un code personnel � trois chiffres, les �l�ves de ce coll�ge-pilote devront glisser leur main dans un bo�tier �lectronique muni de "t�tons capteurs" aptes � reconna�tre les contours tr�s pr�cis de leur dextre, volume, longeur des doigts, �paisseur de la paume et de la main en g�n�ral. Cette op�ration d�bloquera le tourniquet d'acc�s � la cantine et l'�l�ve pourra aller d�jeuner. Au total, 90 points de mesure diff�rents permettront la reconnaissance des coll�giens, affin�s � chacun de leurs passages en fonction de leur croissance physique. "Il ne s'agit en aucun cas d'une prise d'empreintes digitales", souligne Armand Desprez, le principal du coll�ge Joliot-Curie. "Si nous avons obtenu l'accord de la Commission nationale informatique et libert�s (Cnil), c'est parce qu'il n'y a aucun de risque de d�tournement par quiconque des donn�es enregistr�es." "Les informations recueillies par la machine n'ont rien � voir avec celles des fichiers de police", ajoute-t-il. "Ne laissant aucune trace, l'identification par le contour d'une main qui est amen�e � �voluer ne peut donner lieu � aucun d�rapage et devient, de fait, tr�s vite obsol�te." Armand Desprez affirme que les parents d'�l�ves ont approuv� � l'unanimit� l'installation de ce syst�me. "Pour leur part, les demi-pensionnaires trouvent plut�t rigolo ce moyen de reconnaissance par la main, ils sont m�me impatients de pouvoir le tester et l'utiliser", ajoute-t-il. "Pour eux comme pour nous, il ne va apporter que des avantages et emp�cher notamment � l'avenir tout trafic de badges de cantine. Plus de substitution d'identit� non plus ou de racket �ventuel", souligne-t-il. Jusqu'� pr�sent, l'acc�s � la cantine du coll�ge Joliot-Curie se pratiquait selon la vieille m�thode de l'appel et des noms coch�s sur une longue et interminable liste d'�l�ves. La biom�trie permettra de rep�rer mieux et plus vite les absences. Dans le droit fil de ce syst�me, le principal du coll�ge de Carqueiranne a aussi abonn� son �tablissement � un serveur informatique permettant de pr�venir instantan�ment sur leurs t�l�phones cellulaires et par SMS (Short message service) les parents d'enfants absents.


Un gilet pare-balles pour les chiens policiers sud-africains
[2002-11-26 17:01]

JOHANNESBURG - La police sud-africaine, qui op�re dans l'un des pays les violents au monde, va �quiper ses chiens de gilets pare-balles. Ces gilets p�sent environ deux kilos et prot�gent des attaques � l'arme blanche et m�me de projectiles de petit calibre. Les policiers de la province du KwaZulu-Natal ont d�cid� de franchir le pas apr�s la mort de deux de leurs chiens qui tentaient de rattraper des malfaiteurs arm�s de couteaux. "Nous attendons de nos chiens qu'ils accomplissent un m�tier dangereux - apr�s tout, ils sont les premiers � recevoir des coups", explique un officier de police, le capitaine Cobus Noeth. Les gilets pare-balles, d'un co�t de 270 dollars l'unit�, ont �t� donn�s � la police par un groupe d'�coliers et de scouts aid�s par des homme d'affaires locaux. Sur le millier de chiens policiers que compte le pays, 21 d'entre eux ont �t� bless�s en 2001 dans l'exercice de leurs fonctions.


La v�rit� nue sous les kilts �cossais
[2002-11-29 17:48]

LONDRES - Environ sept Ecossais sur dix pr�f�rent respecter la tradition des Highlands et braver les rudes temp�ratures en ne portant rien sous leur kilt, selon une �tude men�e aupr�s de 800 hommes. Chez les plus frileux, la plupart d�clarent rev�tir un cale�on � motif tartan, c'est-�-dire � carreaux �cossais. "Il s'agit de fiert� �cossaise", a d�clar� la porte-parole d'une distillerie de whisky qui a command� le sondage. "Il n'est pas question qu'ils portent quoi que ce soit, m�me s'il g�le." La tradition du kilt �cossais remonte � plusieurs si�cles, mais les fabricants se sont adapt�s aux exigences des temps modernes et certains mod�les comportent une poche pour y loger un t�l�phone mobile.


Le coupe-ongles de Diana serait � vendre
[2002-11-17 15:27]

LONDRES - C'est la grande braderie - une foule d'objets ayant appartenu � feu la princesse de Galles sont � vendre par d'anciens domestiques avides de capitaliser sur la "Dianamanie", croit savoir dimanche la presse populaire britannique. Encourag� par la vente au Daily Mirror des M�moires de Paul Burrell monnay�s 300.00 livres par l'ancien majordome de Diana, le personnel des palais royaux propose toute une s�rie d'objets personnels, qui vont de boucles de cheveux au... coupe-ongles personnel de la jeune femme. Alicia Carroll, une collectionneuse californienne, a ainsi d�clar� au Mail on Sunday: "Il existe � l'int�rieur des palais tout un r�seau de gens � la recherche de cartes ou de mots accompagnant des cadeaux, qui valent des milliers de livres au yeux des collectionneurs". Particuli�rement pris�es des collectionneurs du monde entier sont des lettres �crites par Diana � son jeune fils, le prince William, surnomm� affectueusement par sa m�re "Wombat" (ndlr: une sorte de gros marsupial). Alicia Carroll affirme avoir elle-m�me vendu une "Lettre au Wombat" pour la coquette somme de 50.500 dollars.


Le "cowboy nu" s�vit � Times Square, m�me par temps de neige
[2002-12-06 09:35]

NEW YORK - Connu sous le nom de "Cowboy nu", Robert Burck n'a pas recul� devant la temp�te de neige qui s'est abattue sur New York, et continue d'animer avec sa guitare le carrefour de Times Square, au coeur de Manhattan. Par� d'un simple slip, Burk, originaire de Cincinnati, dans l'Ohio, a d�clar� qu'il n'avait pas froid car il �tait "br�lant de d�sir". Chapeau de cowboy, santiags, l'homme est un habitu� du centre de Manhattan o� il joue toute l'ann�e. Il n'a pas �t� d�courag� par la temp�te qui a balay� la c�te est des Etats-Unis jeudi, de Washington � New York, provoquant la mort d'au moins dix personnes.


Un pr�tre allemand cr�e une "zone d'exclusion du P�re No�l"
[2002-12-05 16:54]

BERLIN - Un pr�tre allemand, agac� par les campagnes de marketing entourant No�l, a lanc� une campagne contre le vieil homme � barbe blanche et costume rouge en distribuant des autocollants proclamant: "Ceci est une zone sans P�re No�l". Eckhard Bieger, pr�tre catholique de Francfort, s'est dit tout � fait favorable � la saison des f�tes, aux �changes de cadeaux et aux r�unions de famille, mais a ajout� qu'il consid�rait le P�re No�l comme une imposture commerciale. "Le P�re No�l est une cr�ation des publicitaires et de Coca-Cola au service de leurs int�r�ts commerciaux", a d�clar� Bieger. "Je n'ai rien contre les cadeaux de No�l et je ne veux pas d�cevoir les enfants", a-t-il ajout�. "Mon but est de replacer Saint Nicolas au centre de l'attention et de lui faire prendre la place de cette coquille vide qu'est le P�re No�l". Bieger a ainsi distribu� quelque 5.000 autocollants repr�sentant un P�re No�l entour� d'un cercle barr�, comme le signe utilis� dans le monde entier pour indiquer par exemple une zone non-fumeur. L'artiste am�ricano-su�dois Haddon Sundblom a cr�� le personnage aux joues rouges et barbe blanche pour les publicit�s de Coca-Cola en 1931 et le dessin a depuis �t� imit�, se plaint Bieger. Le P�re No�l moderne est tr�s �loign� du s�v�re Saint Nicholas qui distribuait punitions ou cadeaux aux enfants en fonction de leur conduite pendant l'ann�e qui venait de s'�couler.


Recrutement impromptu pour gangsters en sous-effectifs au Br�sil
[2002-12-05 11:51]

RIO DE JANEIRO - Une bande de malfaiteurs br�siliens pourtant forte d'une quinzaine d'hommes arm�s a �t� contrainte de recruter au pied lev� des complices pour faire main basse sur deux distributeurs de billets, rapporte la police. Les voleurs, qui s�vissaient dans la banlieue de Rio de Janeiro, ont lanc� un camion dans les distributeurs, mais ils ont �galement d� arr�ter un bus et contraindre les passagers ainsi que les clients d'un bar proche, soit environ 35 personnes en tout, � leur venir en aide. La police est arriv�e alors que le chargement des machines �tait en cours, et les malfaiteurs ont pris la poudre d'escampette au volant d'un camion sur lequel ils avaient charg� l'un des deux coffres.